“La sophrologie m’a permis dans un premier temps de gérer l’urgence : mon état anxieux, ma peur de tomber malade. Grâce à des discussions avec Cécile Lebas et à la pratique, j’ai pu réduire l’intensité et la fréquence de mes angoisses.
Dans un deuxième temps, une fois l’épisode aigu apaisé, la pratique de la sophrologie m’a permis de mieux me connaitre, me tolérer, de m’accepter avec mes faiblesses. Faire en sorte que ce qu’on juge être des points faibles, des failles, soient une partie de soi-même à estimer, dont il faut prendre soin. Enfin, apprendre à détecter corporellement les sensations liées à l’angoisse et son mécanisme est un premier pas vers le contrôle de son état d’être et de ses peurs. Maintenant, avec deux ans de recul, cette pratique est venue s’ancrer dans mon quotidien, consciemment et inconsciemment, comme une boîte à outils disponible en continu, selon les besoins du moment”.
Emilie